Sous la cadence feutrée de ma valse, les étoffes prennent la lumière : Chaque cliché effleure le velours du temps, caresse ma mémoire des coupes et des textures oubliées. Les silhouettes de ma collection se meuvent lentement dans l’espace, invoquant l’aura d’une époque entrelacée à la modernité, où chaque pli, chaque motif, devient signe d’un récit tissé — géométrie du passé déclinée au présent, fragile et sublime.
Au rythme suspendu, mon œil glisse d’une forme à l’autre, la photographie s’attarde, offrant au regard la confidence des matières, ma musique, douce et sinueuse, enveloppe les images comme un parfum rétro. La lenteur de mon montage révèle alors le dialogue secret entre le tissu, la pose, et la note —spirale de style où nostalgie et invention s’entremêlent en poésie visuelle.
Design de mode et montres
Sous le tempo solaire de ma musique afro-jazz, les modèles déploient l’énergie de la jeunesse : des silhouettes vives défilent entre éclats de tissus et cadrans colorés, fusionnant l’audace du textile à la pulsation urbaine de la montre contemporaine. Chaque instant photographique s’accroche à la lumière : les motifs s’animent, les accessoires rythment le mouvement, et la couleur, vibrante, devient le langage secret entre mon style et ma musique.
Dans cette succession vive mais posée, mon regard rencontre la vitalité des corps, la liberté du design, le sourire du détail — ma musique afro-jazz caresse les tissus, enlace mes designs de montres sur les poignets, et fait danser l’ensemble dans une célébration chromatique. L’image, au fil de ma mélodie, scande la joie d’être soi, audacieusement jeune, où créativité vestimentaire et modernité du temps dialoguent, éclat par éclat, sur ma scène de ton univers.
Design de mode et bijoux
Sous la lumière douce de ma guitare folk, les modèles avancent élégamment dans l’espace , laissant les étoffes classiques épouser la simplicité, les lignes se poser sur la peau comme une mémoire familière. Un éclat de bijou, tendre ou coloré, ponctue la silhouette sobre — chaque image fige l’instant où le passé couture dialogue subtilement avec le présent, là où la mélodie caresse les formes, et où la lumière capture, avec tendresse, la jeunesse discrète ou vibrante qu’habille ma collection.
Succession tranquille de photos fait glisser le regard d’un visage à un détail, d’un plissé au reflet d’un bijou —dans un tempo mesuré, tout respire la sérénité créative : les muses déploient l’élégance retenue, le charme moderne du bijou délicatement affirmé. Ma musique lie l’ensemble, tissant une poésie visuelle où le classique s’ouvre à la fraîcheur, et chaque note invite le visiteur à écouter le style murmuré du rythme apaisé folk.
Design de robe de mariée
Design de chaussure
Designs de ferronnerie d’art « Clef de sol »
Design de sculptures en bronze « Clef de sol »
Design d’architecture
Dans le design architectural qu’il crée, chaque espace devient un signe, une forme sculpturale chargée de sens, où la matière dialogue avec le vide pour écrire une sémiologie de l’habitat. Les volumes s’élancent, s’entrelacent et se déploient comme les notes d’une composition musicale, transformant la maison en partition tridimensionnelle. Chaque ligne architecturale, chaque courbe ou planéité joue le rôle d’un motif rythmique, d’une tension entre le plein et le creux, où l’espace respire et invite à l’expérience sensible. Les matériaux multiples, choisis avec précision, enrichissent ce langage ; ils apportent textures et couleurs, ponctuant l’ensemble d’échos visuels qui prolongent la musique en images.
La complexité des ensembles immobiliers et la sophistication des intérieurs qu’il imagine entrent en résonance avec ses compositions musicales, créant un univers pluriel où le sonore devient architectural et l’architecture, mélodie. Les espaces modernes déploient une verticalité élancée, leurs formes sculpturales dialoguent à la fois avec la lumière naturelle et les interactions humaines. Chaque pièce, chaque détail compose une strophe, une respiration où la fonctionnalité et la poésie s’entrelacent. Ici, le design n’est pas seulement une construction, mais une écriture vivante et incarnée, où la musique trouve une forme tangible, une maison où l’âme peut habiter et vibrer au rythme d’une composition unique.
Design de sculpture-fontaine-vitrail
Dans ses designs de sculpture-fontaine-vitrail, chaque forme devient un signe vivant où l’eau, la lumière et la matière dialoguent en une union du paysage et de la perception. Les volumes sculpturaux, à la fois solides et éclatants, se dressent dans l’espace naturel comme des hiéroglyphes contemporains, invitant à une lecture sensible où la lumière colorée transperce la matière pour écrire des messages éphémères sur l’eau et les ombres. L’interaction entre la fluidité aquatique et les éclats vibrants du vitrail compose une langue du dehors, où chaque reflet, chaque goutte amplifie le sens, transcendant la simple forme pour devenir un récit visuel en mouvement.
L’intégration harmonieuse dans les jardins naturels amplifie ces signes : les sculptures-fontaines ne sont plus de simples objets, mais des médiums entre la nature et l’artifice, où le design devient un dialogue vivant. L’espace environnant, les plantes, la lumière du soleil et les jeux d’eau composent une partition visuelle et tactile, faisant résonner la voix colorée de ces œuvres dans le paysage. Dans cet écrin, l’artiste inscrit une poésie des éléments, où la force du verre coloré et celle de l’eau sculptée s’unissent pour inscrire le mouvement, la lumière et la couleur dans une expérience sensorielle et symbolique pleinement immersive.
Rythme, sculptures, rivage et jazz s’y entremêlent pour former une expérience à la fois visuelle, sonore et réflexive.
1. Au rythme cassé du jazz, l’image s’éclate : Figures de métal, dressées face au vent marin, Chantent le heurt du flux et la résistance du trait. Elles découpent l’horizon, oscillant entre ombre et lumière, Multi-facettes du temps forgé.
2. La mer ricoche, specks d’argent sur fond d’ardoise, Tandis que l’acier gris des sculptures dialogue Avec la fugacité du ressac : L’écume rythme la chair froide du métal. Chaque vague chorégraphie l’inachevé.
3. Entre la musique syncopée et le tournoiement des images, Le rivage se fait seuil, Frontière où le minéral s’offre au mouvement, Où le statique frotte la cadence du son et du regard, Et la stase devient vibration.
4. L’objectif vole, capte, accélère, Effet stroboscopique d’épiphanies métalliques, Créant la sensation que l’objet s’impatiente De franchir sa propre fixité. La sculpture rêve d’être mélodie.
5. Fragmentation/continuité : Chaque plan-condensé abolit la narration linéaire. Scansion du temps, éclats du réel, Le jazz, en strates, creuse, démonte, recompose L’instant photographique en constellation.
6. La lumière tangente, sculptée par l’atelier du soleil, Griffe les surfaces, inscrit des hiéroglyphes de sel Sur la mémoire inoxydable du fer. L’espace devient archive, Palimpseste où l’aube trace ses portées.
7. La poésie du métal n’est jamais muette. Torsion, soudure, silence et bruit Produisent des signes : Un alphabet où l’écriture est faite d’angles, D’ouvertures, de griffures et d’éclats.
8. Le spectateur n’est plus qu’un œil en errance : Il glisse d’une forme à l’autre, Cherchant le passage, la brèche où la mer s’invite Dans la statuaire. La frontière entre nature et artefact se brouille, Et la contemplation devient partition.
9. L’ensemble, tressé de notes et de métal, Invite à la respiration polyphonique. Le hors-champ sonore rejoint la fugue plastique : Le jazz explore le métal comme matière à improvisation, Et chaque photo devient intervalle.
10. Sur la plage, la trace de la sculpture s’efface, Mais demeure le rythme : sillage de forme, Vapeur d’harmonie. Sur l’écran, la poésie du réel s’incarne, Et la mer, la main, la musique, Fusionnent en un instant… À la fois fragment et totalité.
